Parcours de réussite en filière littéraire

Le bâtiment scientifique
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Vue de l'internat fille
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Le CDI
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Le gymnase
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Le bâtiment des CPGE
Le bâtiment des CPGE
L'Ensemble Musical
L'Ensemble Musical
Les arts plastiques
Les arts plastiques
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Quelques témoignages de réussite en filière A/L au lycée Pothier 

Intégration en Master 1 à la Sorbonne 

Joseph Lelou (2017-2019) : J’ai intégré la CPGE A/L du lycée Pothier après avoir obtenu mon bac L, option européenne allemand du lycée Péguy. L’expérience en CPGE est constructive de par la richesse et la qualité des enseignements qui y sont dispensés. La première année (hypokhâgne) permet de conserver un tronc commun : histoire, géographie, philosophie et français, auquel s’ajoute une LV1, une LV2 et une langue ancienne (latin ou/et grec). La deuxième année (khâgnes) permet de se spécialiser. On a le choix entre la « classique » ou la « moderne ». Pour ma part j’ai choisi la « moderne » avec une spécialité histoire/géographie, très intéressante mais il faut y être rigoureux. En effet, deux matières différentes, deux cours et donc deux épreuves le jour des examens ! 

Durant mes 2 années de classe préparatoire, j’ai eu la chance d’avoir des cours d’allemand LV1 en petit effectif  ce qui permet de mieux pratiquer l’oral, de faire des travaux de groupe et même de petits exposés. L’ambiance y est travailleuse mais chaleureuse. Il est plus facile de s’exprimer dans une langue étrangère devant 5 personnes que l’on connaît bien que devant un auditoire nombreux.

L’ambiance générale à Pothier est très agréable. J’irais même jusqu’à dire conviviale, voire familiale : tout le monde se connaît, s’entre-aide et se soutient : après-tout, nous traversons tous les mêmes angoisses et les mêmes peurs. Mais pas de panique, le corps enseignant et les camarades sont aussi là pour vous. Des salles sont disponibles pour travailler à plusieurs. De fait, l’atmosphère est propice au travail, et dans les moments les plus durs, on se serre les coudes ! Il y a un rythme assez soutenu, surtout en khâgne avec un calendrier serré en vue des concours qui arrivent vite. Les enseignants en demandent beaucoup et à nous d’en faire le plus possible. La prépa est un parcours unique. La diversité des programmes permet d’accumuler une culture générale conséquente.

La prépa littéraire de Pothier dispose aussi d’une association étudiante dynamique, l’ASKO (sur Facebook : Asko Nnexion) qui permet de relâcher la pression. Elle propose un grand nombre d’activités culturelles (théâtre, conférence,…), sportives (footing, sports co,…) et donne la possibilité d’avoir des abonnements « tarif réduit » pour aller au CDN d’Orléans qui offre des pièces d’une grande diversité.

Tout en étant inscrit à Pothier, j’étais aussi inscrit à l’Université d’Orléans en Licence d’Histoire. Cela m’a permis à la fin de mes deux années de prépa de partir directement effectuer mes deux semestres de L3 en ERASMUS à Fribourg-en-Brisgau (Allemagne). Là encore, ce fut une année extrêmement riche. On rencontre des gens de tous les horizons, un autre système de pensée avec une organisation des cours certes différente, mais très intéressante.

Cette année (2019), j’intègre La Sorbonne Nouvelle en master 1 d’Etudes Européennes : mondes Germanophones.

Intégration de l'ISIT (école de traduction)

 

Claire Veillon (2017-2019) La prépa Pothier a été un vrai tremplin pour mes études supérieures. Arrivée indécise sur mon orientation professionnelle, elle m'a permis de me laisser trois années pour mûrir mon projet tout en gardant un ensemble de matières large et de haut niveau. En deuxième année, j'ai fait le choix d'échanger ma première et seconde langue vivante afin d'obtenir un niveau équivalent, bilingue, en Allemand et Anglais. L'excellence des cours, le petit effectif de la classe, les programmes variés, la persévérance et le travail personnel ainsi que l'accompagnement des professeurs m'ont permis de vite progresser et de présenter, en fin de troisième année, aux concours des écoles de commerce et d'écoles de langues. 

Très tournée vers l'international, la linguistique et les lettres, j'ai finalement opté pour l'ISIT, école de traduction, interprétation et communication basée à Paris. J'y ai intégré le master "Communication et Management interculturel" et ai pu faire un certain nombre de stages dans des entreprises de renommée internationale comme le cabinet d'audit conseil EY. Aujourd'hui, chargée de communication, je ne regrette en aucun cas mes choix post-bac et suis heureuse d'être passée par la CPGE du lycée Pothier d'Orléans.

Intégration du CELSA (par le biais du concours de la BEL)

Claire G

J’ai intégré la classe prépa AL de Pothier en 2010 après un bac ES. À l’époque, je n’avais pas une idée très précise de ce que je souhaitais faire plus tard, mais la prépa avait pour avantage d’offrir un cursus interdisciplinaire et de répondre à ma curiosité dans de nombreux domaines. Ces deux années ont été très enrichissantes tant grâce à des enseignements variés et de qualité, que grâce à une véritable dynamique d’entre-aide avec les autres étudiants. Après avoir choisi l'option théâtre en hypokhâgne, j'ai finalement opté pour la spécialité histoire-géographie en khâgne par affinité, mais aussi en raison ce qui me semblait être la meilleure façon de préparer les concours qui m'intéressaient, ceux de Sciences Po et du Celsa.

La BEL (Banque d’Épreuves Littéraires) m’a donné la possibilité de passer directement l’oral du Celsa. J’y ai ensuite étudié pendant 3 ans dans la filière générale Management de la communication. Cette formation, bien que très différente de la prépa, a été une réelle opportunité personnelle et professionnelle pour moi dans la mesure où j'ai pu conjuguer enseignement théorique, notamment sur les sciences sociales au sens large (linguistique, sémiologie, sciences de l'information...)  et professionnalisation dans les métiers de la communication (stratégie des entreprises et des institutions, communication de crise, management interculturel, ...). Après différents stages et une année d'apprentissage en master 2, j'ai progressivement choisi de me spécialiser dans la communication institutionnelle et politique. Je suis à présent responsable de la communication au Ministère de l’Écologie, en charge des sujets relatifs à l'énergie et aux véhicules. A titre d'exemple, j'anime aujourd'hui des équipes composées de différents métiers (attaché de presse, community manager, rédacteur, chargé de veille médias) dans l'objectif de concevoir des stratégies de communication sur des sujets aussi variés que le développement des énergies renouvelables, l'évolution des prix de l'énergie, ou encore les aides à la mobilité propre.

 

Zoom sur le lycée

Zoom sur le lycée Pothier